Lamine Yamal brille et propulse l’Espagne en finale contre le Portugal
Un prodige de 16 ans illumine la scène européenne
FOOTBALL
Par louis
6/7/20253 min temps de lecture


Lamine Yamal, à seulement 16 ans, continue de bousculer toutes les attentes. Lors de la demi-finale palpitante de la Ligue des Nations, opposant l’Espagne à une redoutable équipe italienne, le jeune ailier du FC Barcelone a livré une prestation d’exception, guidant la Roja vers une qualification en finale contre le Portugal.
Un match maîtrisé par une Espagne ambitieuse
Sur la pelouse du stade olympique d’Amsterdam, l’Espagne a offert un football fluide, agressif et inspiré, digne des grandes heures du tiki-taka. Dès les premières minutes, le pressing haut, la maîtrise technique et la vivacité des offensifs espagnols ont mis en difficulté la défense italienne. Mais c’est bien Yamal qui a changé le cours du match.
Lamine Yamal, homme du match incontesté
Un but splendide et une passe décisive
À la 28e minute, Yamal ouvre le score d’un tir enroulé pied gauche, depuis l’entrée de la surface, après avoir éliminé deux défenseurs avec une facilité déconcertante. Son sang-froid et sa technique rappellent les plus grands, et nombreux sont ceux qui voient déjà en lui le digne héritier de Messi au Barça.
Puis, à la 63e minute, sur une contre-attaque fulgurante, il délivre une passe millimétrée à Álvaro Morata, qui double la mise. Deux actions décisives qui ont scellé le sort de cette demi-finale.
Des statistiques impressionnantes
1 but
1 passe décisive
89% de passes réussies
5 dribbles réussis
3 occasions créées
Lamine Yamal n’a pas seulement brillé, il a dominé.
Le Portugal attend en finale : un Clasico ibérique
La Roja affrontera en finale une sélection portugaise redoutable, emmenée par Bruno Fernandes, João Félix et Rafael Leão. Ce choc ibérique, attendu par toute l’Europe, promet d’être explosif. D’un côté, une Espagne jeune, fougueuse et collective. De l’autre, un Portugal expérimenté, efficace et stratégiquement solide.
Un duel entre deux générations dorées
La finale sera aussi un affrontement générationnel. Lamine Yamal (2007) et Nico Williams (2002) d’un côté ; Cristiano Ronaldo (1985), possiblement pour sa dernière compétition majeure, de l’autre. Une passation symbolique des pouvoirs ?
Luis de la Fuente, l’architecte de cette renaissance
Le sélectionneur espagnol continue d'impressionner. En misant sur des jeunes talents encadrés par des vétérans, il a construit une équipe équilibrée, capable d’imposer son rythme tout en s’adaptant aux temps faibles. Sa gestion du cas Yamal, loin de le surprotéger, montre une confiance rare pour un joueur aussi jeune.
La presse internationale sous le charme
Les médias européens et sud-américains sont unanimes :
L'Équipe : "Yamal, 16 ans et déjà roi"
Marca : "La nouvelle étoile de l’Espagne"
The Guardian : "A teenager leads Spain into a golden era"
Globo Esporte : "Yamal, o menino mágico da Espanha"
Une Espagne en route vers l’histoire
Si l’Espagne l’emporte en finale, elle deviendrait la première nation à gagner deux éditions de la Ligue des Nations, tout en étant la seule à disputer trois finales consécutives. Cette génération, menée par des jeunes comme Yamal, Pedri, Gavi, Baldé, pourrait marquer une nouvelle décennie de domination.
Yamal, une trajectoire déjà légendaire
Formé à La Masia, Lamine Yamal n’en finit plus de repousser les limites. Il est :
Le plus jeune buteur de l’histoire de la sélection espagnole
Le plus jeune joueur à disputer une demi-finale européenne
Le plus jeune homme du match en Ligue des Nations
Et à seulement 16 ans, il s'apprête à jouer sa première grande finale internationale.
Conclusion : un futur doré sous le ciel ibérique
L’Espagne peut rêver en grand. Grâce à Lamine Yamal, la Roja retrouve une fraîcheur, une créativité et une efficacité qui lui faisaient défaut depuis plusieurs années. La finale contre le Portugal s’annonce comme un tournant dans l’histoire récente du football européen. Tous les regards seront tournés vers le prodige de Barcelone, bien décidé à inscrire son nom dans l’histoire.